Vos titres GCC et CCP sont ils en règles?
Aug 02, 2024No quod sanctus instructior ius, et intellegam interesset duo. Vix cu nibh gubergren dissentias. His velit veniam habemus ne. No doctus neglegentur vituperatoribus est, qui ad ipsum oratio. Ei duo dicant facilisi, qui at harum democritum consetetur.
Votre titre professionnel en crédit est-il valide? Saviez-vous que pour porter les titres de CCP ou GCC, il ne suffit pas d’avoir suivi la formation et gradué?
Il arrive parfois que des professionnels du crédit arborent les titres de Gestionnaire de Crédit (GCC) ou « Certified Credit Professional » (CCP) sans en avoir maintenu le privilège ou pis encore, sans les avoir jamais obtenus. Certes il n’y a pas que les titres. L’expérience en gestion du risque et des comptes à recevoir compte en priorité dans la sélection des candidats à un poste et la validation de compétences clés compte encore plus. Cependant, les employeurs s’attendent à une valeur ajoutée de la part d’un GCC, DCC ou CCP.
Bien des employeurs demandent une vérification des titres au moment de l’embauche. Un simple malentendu pourrait être interprété comme une fausse déclaration et entrainer des situations embarrassantes allant jusqu’à un congédiement justifié même à postériori.
Une petite vérification de votre statut auprès de votre regroupement professionnel pourrait vous éviter la déconvenue. Les organisations qui accordent une désignation professionnelle demandent en effet que vous soyez membre en règle pour arborer leurs titres. C’est le cas tant pour l’Institut Canadien du Crédit que pour la Fondation Québécoise pour le Crédit.
Une parenthèse éditoriale, au risque de sembler moralisateur : Viendrait-il à l’idée d’un avocat, d’un comptable ou d’un médecin de pratiquer sans être membre de son ordre? Un titre GCC ou CCP, ce n’est pas uniquement un diplôme ou une formation ponctuelle dans le temps. C’est aussi appartenir à un corps professionnel. C’est se relier à une éthique, à un réseau d’individus compétents avec lesquels on échange. Et c’est contribuer à la reconnaissance de sa profession.
Après tout, arborer un titre signale un certain sentiment d’appartenance. Ne serait-il pas normal que cette appartenance se traduise en un support durable envers votre regroupement professionnel?